Citations

La ballade de Jesus Cat

Coutin/Coutin

La ballade de Jesus Cat

Un matin elle s’est réveillée
La terre avait oublié de tourner
Le ciel pleurait la tristesse
Comme si les jours se ressemblaient

Elle a roulé vers le désert
Cherché le monde à l’envers
Regardé le soleil dans les yeux
Elle s’est brûlé la cervelle

C’est la ballade de Jesus Cat Rouler vite, mourir libre
La ballade de Jesus Cat Rouler vite, mourir libre

Lorsqu’elle en est revenue
Les gens ne l’ont pas reconnue
Elle dessinait sur les murs
Les cris du silence, les murmures

Un jour elle a pris sa machine
Et dans la fureur et le bruit
Elle a chevauché jour et nuit
Comme un oiseau qui s’enfuit

C’est la ballade de Jesus Cat
Rouler vite, mourir libre
La ballade de Jesus Cat
Rouler vite, mourir libre

Arrivée au bout de la route
Elle a juste accéléré
Elle s’est envolée vers le ciel
Les anges n’ont pas besoin d’ailes

C’est la ballade de Jesus Cat
Vivre vite, mourir libre
La ballade de Jesus Cat
Rouler vite, mourir libre
Rouler vite, vivre libre

Loin de vous (je vis dans le blues)

Coutin/Coutin

Depuis que nos chemins se sont croisés
Les gens me parlent souvent de nous
Ils me disent comment vous allez
Ils veulent savoir comment je vais

Moi je dis que les heures durent des années
Et que les nuits n’ont pas de fin
Quoi que je fasse, où que j’aille me noyer
Toutes les rivières sont asséchées

Alors si vous voulez savoir comment passent les jours
Je vis dans le blues quand je suis loin de vous
Si vous voulez savoir comment passent les jours
Je vis dans le blues quand je suis loin de vous

Je marche dans les rues où les enfants jouent
Et presque tout le temps je pense à vous
J’écris des mots qui perdent leur sens dès que l’encre a séché
Des lettres que vous ne lirez jamais
Les images défilent devant ma fenêtre immobile
On dirait que l’hiver va durer cette année

Alors si vous voulez savoir comment passent mes jours
Je vis dans le blues quand je suis loin de vous
Si vous voulez savoir comment passent mes jours
Je vis dans le blues quand je suis loin de vous

Je vis dans le blues quand je suis loin de vous

La nuit est là

Coutin/Coutin

Assis sur le sable chaud dans les lumières du soir
Le ciel si pur, le vent qui vient du sud
Les odeurs de l’été, les étoiles qui titubent
Les vagues murmurent une étrange prière

Les bruits de la ville éphémères et lointains
Marcher sur un chemin qui n’a pas de fin
Je me suis égaré au bord de l’univers
Irradié, calciné comme un oiseau blessé

Le ciel peut attendre autant que tu voudras
Le ciel peut attendre et moi j’ai tout mon temps

La nuit, la nuit
La nuit est là pour s’aimer en secret
La nuit, la nuit
La nuit est là pour s’aimer en secret

Un soleil de sang se noie sur l’horizon
Je regarde passer les grands avions
Je voyage immobile perdu dans mes rêves
Je sais que tu es là juste à côté de moi

Le ciel peut attendre le temps que tu voudras
Le ciel peut attendre et j’ai tout mon temps

La nuit, la nuit
La nuit est là pour s’aimer en secret
La nuit, la nuit
La nuit est là pour s’aimer en secret

La nuit, la nuit
La nuit est là pour s’aimer en secret
La nuit, la nuit
La nuit est là pour toi et moi

La nuit est là pour ceux qui s’aiment en secret
La nuit est là pour ceux qui s’aiment en secret
La nuit est là pour ceux qui s’aiment en secret
La nuit est là pour ceux qui s’aiment en secret
La nuit est là pour ceux qui s’aiment en secret

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La star du comptoir

Coutin/Coutin

Le vent dans tes cheveux
Un sourire dans tes yeux
Tu m’racontes une histoire que je connais déjà

Les mots qu’on ne dit pas
Les regards qui s’égarent
Ça m’rappelle des moments que j’ai vécus déjà

Ton passé, d’où tu viens, c’que tu gardes pour toi, c’que tu fais, c’que tu caches
Ça ne me regarde pas, je n’veux pas le savoir, j’ai pas besoin de ça

Moi j’veux juste traverser un bout de la nuit avec toi
Qu’on arrive vivants sur l’autre trottoir
Et même si affinités
Et même si affinités
Et même si affinités
Qu’on en reste là

Toi tu m’racontes le désert des sentiments
Moi j’te parle de la mer, du firmament
Ça m’rappelle des moments que j’ai vécus déjà

Quand les anges tombent du ciel
Au beau milieu du trottoir
C’est l’moment d’regarder ou tu mets les pieds

Tu peux tout poser sur le coin du bar, tes amours, tes cafards
Tu es la star du comptoir, tu scintilles et tu brilles comme du strass dans le soir

Moi j’veux juste traverser un bout de la nuit avec toi
Qu’on arrive en vie sur l’autre trottoir
Et même si affinités
Et même si affinités
Et même si affinités
Qu’on en reste là

J’ai pris mon bébé par la main

Coutin/Coutin

J’ai pris mon bébé par la main
Viens on s’en va vers le sud
Le ciel si bleu le soleil brille
Je n’veux pas mourir dans la nuit

Elle a souri et elle m’a dit
Si on restait plutôt ici
Allongés toute la journée
On ferait l’amour sans un mot

J’ai pris mon bébé dans mes bras
Je l’ai serrée fort contre moi
On s’est aimé tout le jour
Et puis la nuit jusqu’au matin
J’ai pris mon bébé par la main

J’ai regardé la pluie tomber
Sur ses cheveux comme les blés
Puis la lumière est arrivée
Et ses yeux se sont éclairés

Elle m’a dit si tu arrêtais
De toujours et encore chercher
Tu pourrais t’asseoir près de moi
Laisser le temps écrire l’histoire

J’ai pris mon bébé dans mes bras
Je l’ai serrée fort contre moi
On s’est aimé tout le jour
Et puis la nuit jusqu’au matin

J’ai pris mon bébé dans mes bras
Je l’ai serrée fort contre moi
On s’est aimé tout le jour
On s’est aimé sans un mot

J’ai pris mon bébé par la main
J’ai pris mon bébé par la main

Rien que pour ses yeux 

Coutin/Coutin

La fille aux grands yeux noirs
Sur le quai de la gare
Elle attend le regard
D’un amour en retard

Elle regarde tourner
Le manège enchanté
La machine hystérique
Qui tourne et qui s’agite

C’est comme une vague de chaleur
Qui envahirait tout
Comme un nuage d’amour
Qui te rendrait fou

Rien que pour ses yeux
Juste pour ces yeux

Dans ce monde étrange
Ou plus rien ne dérange
Tout s’entrechoque
Et tout se télescope

Les gens pressés qui passent
Ne s’imaginent pas
Tous les rêves cachés
Derrière ces grands yeux noirs

C’est comme une vague de chaleur
Qui te prendrait le cœur
Comme un nuage d’amour
Qui te rendrait fou
Rien que pour ses yeux Juste pour ces yeux

Rêver d’un ailleurs
Regarder l’absolu
S’envoler encore
Vers l’amour vers la mort
Sans plus rien chercher
Sans se retourner
Voler vers l’indigo
Rêver dans l’indigo

C’est comme une vague de chaleur
Qui te prendrait le cœur
Comme un nuage d’amour
Qui te rendrait fou

C’est comme une vague de chaleur
Qui te prendrait le cœur
Comme un nuage d’amour
Qui te rendrait fou

Rien que pour ses yeux
Juste pour ces yeux
Rien que pour ses yeux
Juste pour ces yeux

À part ça, tout va bien 

Coutin/Coutin

Un serpent de flammes lentement dévore les corps et les âmes
Le soleil calcine la terre qui brûle comme un coin de l’enfer
Les rivières s’assèchent, la vie s’en va, elle ne reviendra pas
Ils fuient la famine, le désert qui avance pour mourir sur nos plages

Oh Oh Oh Oh Oh Oh Oh Oh

À part ça tout va bien
À part ça tout va bien

La planète se fissure, les forêts disparaissent, les pôles se disloquent L’air que tu respires est un poison violent même les pluies sont acides Les grands mammifères meurent en silence dans des mers de plastique Le monde est sans futur il n’y a pas de répit pour notre mère la terre

Oh Oh Oh Oh Oh Oh Oh Oh Oh Oh Oh Oh Oh Oh Oh Oh

À part ça tout va bien
À part ça tout va bien

La pollution chimique court en liberté c’est un serial killer
Qui sème la mort comme s’il était le dernier fossoyeur
L’argent est un monstre jamais rassasié, amnésique, boulimique Cette apocalypse est silencieuse elle est Invisible

Oh Oh Oh Oh Oh Oh Oh Oh Oh Oh Oh Oh Oh Oh Oh Oh

À part ça tout va bien
À part ça tout va bien
À part ça tout va bien
À part ça tout va bien

Oh Oh Oh Oh Oh Oh Oh Oh Oh Oh Oh Oh Oh Oh Oh Oh

À part ça tout va bien

Une pierre qui roule

Coutin/Coutin

Je sais plus où j’étais hier
Je sais pas où je s’rai demain
C’est sûr je serai quelque part
Au bord de la route ou du hasard
Vivre la vie au jour le jour

Roule, roule, roule, roule
Comme une pierre qui roule
Roule, roule, roule, roule
Ne te retourne pas

Comme une pierre qui roule

Tu peux me prendre par la main
Et si tu n’as plus peur de rien
M’emmener là où tu veux
Si tu sais ce que tu veux

Vivre la vie au jour le jour

Roule, roule, roule, roule
Comme une pierre qui roule
Roule, roule, roule, roule
Ne te retourne pas

Comme une pierre qui roule

Prends ta chance et lance les dés
Peut-être qu’ils te diront pourquoi
Pourquoi le soleil déchire la nuit
Pourquoi la nuit détruit le jour
Vivre la vie au jour le jour

Roule, roule, roule,
Comme une pierre qui roule
Roule, roule, roule,
Ne te retourne pas

Roule, roule, roule,
Comme une pierre qui roule
Roule, roule, roule,
Ne te retourne pas

Comme une pierre qui roule roule
Comme une pierre qui roule roule

Maman

Coutin/Coutin

Maman
Est-ce que tu crois qu’on pourrait
Rester encore un moment
Serrés l’un contre l’autre ?

Maman
Un peu comme si le temps
Ne nous avait pas séparés
Comme si j’étais un enfant

La nuit tombe doucement
Une pluie d’étoiles, lentement
Est-ce que tu es dedans ?
Est-ce que j’ai encore le temps ?

Maman
Ton regard dans le silence
J’aurais voulu que tu restes
Près de moi plus longtemps

Maman
La nuit est arrivée
Tu m’avais fait promettre
De n’pas partir avant toi

La nuit tombe doucement
Une pluie d’étoiles, lentement

Est-ce que tu es dedans ?
Est-ce que j’ai encore le temps ?

Glory Glory Gloria Glory Glory Gloria

Maman
Est-ce qu’on se retrouvera
Dans les jardins d’Éden
Au milieu des anges

Et maintenant
Dis-moi, je fais quoi ?
Et puis attendre quoi ?
Est-ce que tu seras là ?

La nuit tombe doucement
Une pluie d’étoiles, lentement
Est-ce que tu es dedans ?
Est-ce que j’ai encore le temps ?

Glory Glory Gloria Glory Glory Gloria
Glory Glory Gloria Glory Glory Gloria

Maman

L’homme invisible 

Coutin/Coutin

Quand les vendeurs de rêves sont sur le pas ta porte
C’est qu’les pilleurs de tombe sont au bout de la rue
Tu jettes un œil vite fait sur les nouvelles du jour
On dirait qu’l’heure est grave et que tu n’en sais rien

Les prédicateurs tournent comme des vautours
Au-dessus de ta tête et de tes amours
Les bouteilles vides, les verres à moitié pleins
Est-ce que la vaisselle peut attendre demain ?

Alors tu fais ton sac et tu fermes ta porte
Tu mets tes lunettes noires et tu siffles ton chien T
u marches en silence, tu es l’homme invisible
En direction du haut de la colline

Tous les grands docteurs et tous les grands savants
Se sont réunis sur le même écran
La vérité coule dans tes oreilles
Comme un mélange de poison et de miel

Les musiques que tu aimes n’ont plus le même goût
Et même si tes rêves t’abandonnent au matin
Le chant des sirènes court encore dans tes veines
Est-ce que ce dealer traîne encore dans le coin ?

Alors tu fais ton sac et tu fermes ta porte
Tu mets tes lunettes noires et tu siffles ton chien
Tu marches en silence, tu es l’homme invisible
En direction du haut de la colline

Alors tu fais ton sac et tu fermes la porte
Tu mets tes lunettes noires et tu siffles ton chien
Tu marches en silence, tu es l’homme invisible
En direction du haut de la colline

En direction du haut de la colline

The Brain

Coutin/Coutin

So you say you want to know who is the master of the world
So you say you wanna know the mysteries of life and death
Learn to fly, fly the sky, over the sees over the mountains
Watch the world, free as a bird, till you get the heart of gold

Dont’t you know we call him the brain
Dont’t you know we call him the brain
Dont’t you know we call him the brain

So you say you want go where no human ever been
Meet the spirit, see the perfect, find the kingdom of wisdom
Don’t you know, this is just à dream, nothing’s true, nothing’s real
There’s just a ligth, in the ligth, deep inside in your inner ligth

Dont’t you know we call him the brain
Dont’t you know we call him the brain
Dont’t you know we call him the brain

Feel the freedom

Coutin/Coutin

Feel the freedom
Running down the streets
Feel the rage
Rushing down your veins
See the world
Spinning wrong

See them people
Fighting for their rigths
See mother earth
Trying to survive
See the world
Is spinning wrong
See the world
Is spinning wrong

Feel the wind
Blowing in you hairs
The rain can tell
Why the sky is crying
See the violence
As the rule on earth
Feel that’s love
Is the only answer
See the world

See the world
Need some help
See the world
Need some help

Get in the groove

Coutin/Coutin

When the nigth comes down
Over the city of ligths
Get your secret life on
Get your mind on fire
Wanna touch the sky
Got to get some fever
Wanna find someone
To share a walk on the stars

Got to find someone to love
Got to find someone to love
Got to find some loving

Got to find someone to love
Got to find someone to love
Got to find some loving

Get in the Blue
Don’t stop to moove

Wait to see the trance
Over the bodys and minds
Don’t wait to get in
Let your soul be there
You can see the people
Dancing in the streets
Til the morning come
Just be happy and free

Got to find someone to love
Got to find someone to love
Got to find some loving
Got to find someone to love
Got to find someone to love
Got to find some loving

Get in the groove
Don’t stop to moove
Get in the groove
Get in the groove,

Get up stand up stand up for your
Get up stand up stand up
Got to find got to find

Got to find someone to love
Got to find someone to love
Got to find some loving

Got to find someone to love
Got to find someone to love
Got to find some loving

Get in the groove
Get in the groove
Don’t stop to moove
Don’t stop to moove

Got to find someone to love
Got to find someone to love
Got to find some loving

The spirit & the flesh

Coutin/Coutin

I want you be my love tonight I wanna be your babe
I wanna stay in your arms just like the very first time
There is a something in the sky
Like a sign shining so far
You know we should not refuse

My ho my
My ho my

Please tell me again you need to feel my heat on you
Let me lay my guitar at your feet to the glory of you
I’m lost and I will remain
The same whatever happen
You know I will not surrender

My ho my
My ho my

I need to feel your fingers running all over my skin
I want to feel your skind under my hands
All night long my baby
Just like the very first time
I want get lost in your soul
Even if it’s for never again

My ho my
My ho my

Please let’s make love again and again
Until the deal goes done let me be you thin
I will leave in the morning
Going to nowhere it seem
But you’ll be here forever
Princess of my heart

My ho my
My ho my

Lay down lady lay down close to your man
Give him what he needs to stay alive one more night
Give him the spirit and the flesh
Give him the rope and the release
Let him know the taste
Of love over the pain.

My ho my
My ho my

By the sea

Coutin/Coutin

Monday mornin’
Nothing to do
Open the windows
Let the world get in

When you’ve been
Away for so long
Maybe you just
Let the sunshine
Fall like the rain
Over me

Monday mornin’
Just another day
Listening the children
Playing in the streets

Life is so simple
When the sky above
Is brigth and blue
Just let the sunshine
Fall like the rain
Over me

And I know, It’s gonna be a day of love
Yes I know, it’s gonna be a day of love

Monday’ morning
There is no future
Nobody cares now
Where you’ve been
When you’l be livin’

Feel the freedom
To be alive
In a world so strange
Just let the sunshine
Fall like the rain
Over me
Over me

And I know, It’s gonna be a day of love
Yes I know, it’s gonna be a day of love

And I know, It’s gonna be a day of love
Yes I know, it’s gonna be a day of love

In the blackout

Coutin/Coutin

Here comes
Here comes

Here comes the sound of bomber planes
The sky’s on fire the earth is shaking
Rockets screamin’ over the city
The walls are bleeding human tears

Here come the man with dark blue eyes
He’s got a flower in his hand
A machine gun in the other one
He think that God is on his side

Here come the children with no name
He can’t speak a word but he can sing
The song they wrote in the ancient time
When the Moonkiller was a friend of mine

Here come the sun over the mountain
There is a rainbow rigth through the rain
I can see a bird flying away
Like a smooth lover on his way

Here come the days of blood and tears
You know my love will never tear
Welcome in the blackout

Here come the days of blood and tears
You know my love will never tear
Welcome in the blackout

Here come the days of Pearly Spencer
You know this race is almost run
Only the rats can compete today
We walked the line to far this time

Here come the days of resurection
Maybe someone can stop this action
We wanna live just like some Jesus
But we don’t need no crucifixion

Here come the days of blood and tears
You know my love will never tear
Welcome in the blackout

Here come the days of blood and tears
You know my love will never tear
Welcome in the blackout

Shout shout shout
Let you mind fly, away
Shout, shout shout
Let you mind fly, away
Shout shout shout
Let you mind fly, away
Shout, shout shout
Let you mind fly, away
Shout

Shout

Coutin/Coutin

She’s on her way to paradise
Dressed in leather and cuban heel
Directly from nowhere to here
She said Lou’s gone with the angels

She is looking at the stars
I think she’s comming from so far
She want a taste of something else
Drink a milk shake on the milky way

Shout shout shout
Let you mind fly, away
Shout shout shout
Let you mind fly, away
Shout shout shout
Let you mind fly, away
Shout, shout, shine,
Let you mind fly, away
Shout, shout, shout

She’s only here for the trance
She want live alive in the nigth
Hold the world deep in her arms
She wanna dance for the rest of her life

She’s on her way to paradise
She know there is no compromise
She want to be a shooting star
She’s gonna shine à ligth higth in the sky

Shout shout shout
Let you mind fly, away
Shout shout shout
Let you mind fly, away
Shout shout shout
Let you mind fly, away
Shout, shout, shine,
Let you mind fly, away
Shout, shout, shout

Let it goes

Coutin/Coutin

Just arrived in paradise
There is nothing left to do
The sun is brigth the sky is blues
Emptyness is good for you

Let it goes let it goes
Deap down
Let it goes

Everything is so unreal
There is just à dog to welcome you
When you finally get to the desk
The lady don’t seem to see you

You remember the day you’ve born
And even the day you’ve borned again
But you can’t see no reason why
You feel alive and you’re so dead

Let it goes let it goes
Deap down
Let it goes

You’ve been asking so many questions
And now you’re waiting for some signification
But there is nothing and no one who can tell you
Where is the north, where is the south, where is the truth.

Let it goes
Let it goes
Let it goes
Let it goes

If ever you wake up one morning
Please don’t forget to consider
Maybe you just stay in bed today
Till the desk lady stop to cry on you

Maybe you stand up and you cut the rope
Who keep the hanged man to fall down
But whatever you do, whatever you feel it’s cool
Just let it goes until it’s gonne

Let it goes let it goes
Deap down
Let it goes,

Let it goes let it goes
Deap down
Let it goes,

Yer blues train

Coutin/Coutin

Train train take me home
Train to the sound
Train train where I’have born
Train Train to their blues

Cause it’s a long way home
Long way home
Cause it’s a long way home
To my home

Train train all day long
Train train thrue the nigth
Train train like bird
Train train to yer home

Cause it’s a long way home
Long way home
Cause it’s a long way home
To your home

Train train don’t turn me
Train train you don’t hear me
Train train you and me
Train train we know the storry

Cause it’s a long way home
Long way home
Cause it’s a long way home
To my home

Cause it’s a long way home
Long way home
Cause it’s a long way home
To my home

I guess

Coutin/Coutin

I guess
I guess
You will walk away slowly
Out of my life

I guess
I guess
There will be a smile like always
On your lips

I guess
I guess
You will take you time
To diseapearr from my heart

You know I know the rules of love
You know I know you have to go
They were no promises and no words
The game of life has roled the dice
Ain’t it time to say good bye ?

The ocean is cool and so quiet today
And the sun is brigth over the clouds
I can imagine you walking down the road
Going up your way, seems to aim so far, so far away
Ain’t it time to say good bye ?

Bye bye Love

I guess
I guess
Day after day I will have to live
With the taste of you skin

I guess
I guess
Your eyes are so clear
I saw some paradise inside

Migrant’song

Coutin/Coutin
Tout petit lézard la queue coupée,
Le monde est dur à trop rêver
Le vent te pousse vers le bout de l’univers,
Comme un fétu de paille sur la grande terre
L’écumes des mersHo dites moi

Dites moi pourquoi
Le monde est si dur

Pour ceux qui n’ont que des rêves

Les corps allongés sur le sable
Si loin des deserts immuables
Laisser la nuit vous emporter
Dans les bras des anges anonymes
Des âmes qui vacillent

Ho dites moi
Dites moi pourquoi
Le monde est si dur
Pour ceux qui n’ont que des rêves

Aller, chauffe Marcel

Chauffe, chauffe
Ho dites moi
Dites moi pourquoi
Le monde est si dur
Pour ceux qui n’ont que des rêves
Rentrer dans la nuit
Retrouver ses amours ses amis
Rêver planer jusqu’à l’oubli
Rêver d’humanité
Rêver des grands naviresRêver

Partir

Shooter dans un ballon de foot
Shooter dans la vie

Shooter dans la vie


Biberon pas prêt blues

Coutin/Coutin

Arrête ma p’tite Baby, arrête un peu de hurler
J’ai joué toute la nuit, c’est vrai rien n’est prêt
J’ai tout oublié, de quand j’étais bébé
Et en puériculture, j’ai des lacunes avérées
J’ai le stress de la tétine
Egarée dans la cuisine

Biberon pas prêt blues
Biberon pas prêt blues
Biberon pas prêt blues
Biberon pas prêt blues

Arrête ça petite, laisse tomber la crise
Le matin dans la glace, le cri primal ça te casse
L’babysitter en tuxedo, c’est comme le dernier métro
La stérilisation ça me met la pression
Mais j’suis sûr qu’un double sky
Ca pourrait faire le travail

Qu’est-ce que tu dis de ça, Petite, dis-moi
Qu’est-ce que tu dis, Petite,
Qu’est-ce que tu dis de ça

Biberon pas prêt blues
Biberon pas prêt blues
Biberon pas prêt blues
Biberon pas prêt blues

Maryline est folle

Coutin/Coutin

Quatre murs dans la tête
Enfermée dans ses rêves
Maryline ne sait pas
Elle ne sortira plus

Quatre murs dans la tête
Et les blouses blanches
Maryline tend le bras
C’est l’heure de la piqûre

Maryline est folle
Elle veut s’évader
De la machine molle
Mais la porte est fermée

Maryline est folle
Elle veut s’évader
De la machine molle
Mais la porte est gardée

Par les blouses blanches
Par les blouses blanches

Quatre murs dans la tête
Et le goût de l’éther
Maryline a perdu
Le souvenirs d’hier

Quatre murs dans la tête
Et les grilles de fer
Maryline a peur
D’être seule sur terre

Maryline est folle
Elle veut s’évader
De la machine molle
Mais la porte est fermée

Maryline est folle
Elle voudrait s’évader
De la machine molle
Mais la porte est gardée
Par les blouses blanches
Par les blouses blanches
Par les blouses blanches

Elle écrit sur les murs
Les mots comme des enfants perdus
Elle parle aux oiseaux
Qui s’en vont vers l’azur

Elle écrit sur les murs
Les mots comme des enfants perdus
Elle parle aux oiseaux
Qui s’en vont vers l’azur

Maryline est folle
Maryline est folle

My Ho My

Coutin/Coutin

J’en ai tellement vu partir sans se retourner
Les voiles gonflées d’espoir, de rêves insensées
J’en ai tellement vu revenir le regard perdu
Comme autant de martyrs de causes sans avenir
Comme des enfants nus orphelins de leurs désirs

My ho my
My ho my

Tellement de rêves tellement d’amours qui se sont dispersés
Toutes ses promesses d‘un jour qui se sont envolées
Comme une poignée de sable te glisse entre les doigts
Quand il ne reste que quelques grains tu sais
Que l’heure est sans doute arrivée de te laisser glisser

My ho my
My ho my

J’en ai tellement entendu dire qu’un jour ils auraient
Dans les mains tout ce qui brille et puis jamais
Tu sais c’est comme ça on dirait
La jeunesse porte en elle des rêves inachevés
Mais quand tu ne rêves plus tu sais
Que l’avenir ressemblera au passé

My ho my
My ho my

J’ai tant aimé les femmes aux yeux de promesse
Tellement porté d’idées qui devaient tout changer
Un jour tu te réveilles et le monde n’est plus pareil
Et pourtant tu n’as rien inventé dans ton sommeil
Peut être que c’est toi qui n’es plus le même
Où peut être que ton rêve t’a laissé tombé

My ho my
My ho my

J’aurais tellement voulu tellement aimer te raconter
L’histoire de ce voyage comme un livre enchanté
Et puis le vent a tourné les pages
Et les lettres se sont effacées
Que reste-t-il de tous ces mots que nous avons tant aimé
Si ce n’est des souvenirs et parfois des regrets

My ho my
My ho my

Alors pardonne-moi si aujourd’hui je reste allongé
À écouter le temps s’écouler sans se presser
Tout ça est passé tellement vite
J’aurais voulu tout retenir
Te regarder encore longtemps
Mettre de la lumière sur le temps

My ho my
My ho my
My ho my
My ho my

Tous aux abris

Coutin/Coutin

Des p’tites sœurs de vertu qui ont déjà tout connu
Qui jouent à se faire peur pendant que leurs mamans pleurent
Dans des cuisines aseptisées le corps javellisé
Le regard allumé devant les publicités

Des sales gosses roulées dans des cabriolets
La capote usagée et le cœur brisé
La diva du phalanstère égarée dans ses chimères
On dirait qu’la charcutière est carrément suicidaire

Les mots des prophètes ont disparu
Et leurs exégètes sont à moitié nus
Plus personne ne traverse ta rue
Enfermé au paradis… au milieu des détritus
Enfermé au paradis… au milieu des détritus

Les marchands du temple ont carrément tout bradé
L’Oncle Sam a sifflé la fin d’la récrée
Parfois même dans le noir tu vois des cafards
S’aimer sans se toucher ne jamais se dévoiler

Tu regardes la poubelle, les rêves s’amoncellent
Le cœur dans la glacière tu pleures plane devant la télé
C’est entre chien et loup que le loup garou
Croque à pleines dents les os des petits enfants

Les mots des prophètes ont disparus
Et leurs exégètes sont à moitié nus
Plus personne ne traverse ta rue
Enfermé au paradis… au milieu des détritus
Enfermé au paradis… au milieu des détritus

Enfermé au paradis au milieu des détriti
Pour les petites sœurs qui ont mis une roue dans l’malheur
Le camion des poubelles passe toujours à la même heure
C’est l’appel du loup garou pour les enfants d’cœur
Tous aux abris

Fredda

Coutin/Coutin

Fredda ne me laisse pas comme ça
Je t’emmenais au cinéma
Et tu verras des corridas
Du sang séché noir sur le sable
Des toreros morts au combat
Devant de pales Señoritas
Le regard voilé par les traces
D’amours violentes et fugaces

Et moi je sais que tu n’es pas une vilaine fille
Et c’est pas vrai que tu n’as pas d’moralité
C’est juste que tu le fais
Avec ce que le ciel t’a donné

Fredda ne me laisse pas comme ca
Parfois le soir au fond des bars
Je prend des trains je prend des cars
Je regarde passer les gares
j’ai tellement envie de savoir
Où ca pourrait nous emmener
Si on laisser tomber les armes
Et du passé faire table rase

Et moi je sais que tu n’es pas une vilaine fille
Et c’est pas vrai que tu n’as pas d’moralité
C’est juste que tu le fais
Avec ce que le ciel t’a donné

Fredda ne me laisse pas ce soir
Comme les tiens mes rêves sont noirs
Des corps brisés dans les miroirs
Mutilés de simples désespoirs
Des anges éclatés sur le sol
Tombés du ciel, tirés en plein vol
Quand le désir soudain te serre
Le cœur dans une main de pierre

Et moi je sais que tu n’es pas une vilaine fille
Et c’est pas vrai que tu n’as pas d’moralité
C’est juste que tu le fais
Avec ce que le ciel t’a donné

Et moi je sais que tu n’es pas une vilaine fille
Et c’est pas vrai que tu n’as pas d’moralité
C’est juste que tu le fais
Avec ce que le ciel t’a donné

Le Paradis

Coutin/Coutin

Elle, sous les stroboscopes
Qui se télescopent
La lumière sur sa peau
Semble couler du ciel
Comme une caresse
Elle, est venue de la bas
Voir la mer et le ciel
Maintenant elle est la
Comme un fruit défendu
Allongée au soleil

La vie, la nuit
La nuit, la vie, c’est par où l’paradis ?

Les, regards qui se disent
Les cœurs qui se brisent
Sous les étoiles qui filent
Les, décibels qui te collent
Les filles qui dansent
Les corps qui balancent
Sous les doigts du DJ

La vie, la nuit
La nuit la vie, c’est par ou l’paradis ?

Dans la chaleur de la nuit
Rien qu’une vie pour tout vivre
Tout connaître et tout faire
Kaleidoscope, Cinemascope

La vie, la nuit
La nuit, la vie, c’est par où l’paradis ?

En kaléidoscope ou en Cinémascope
On s’est croisé sur la Croisette
Et on s’est mis le cœur en miettes
C’est par où l’paradis ?
C’est par où la sortie ?

Oh mon Dieu

Coutin/Coutin

Il marche sur le miroir
On dirait qu’il danse
Sur un fil qui se perd
Dans la ville et ses prières
Elle, avait des yeux si bleus
Comme si elle avait peur
De l’oiseau noir posé sur le banc
Comme un vieillard qui attend

L’herbe est si verte
Et le ciel si bleu
Oh mon Dieu,
Donnez-nous la force
De vivre encore un peu

Les cheveux hirsutes
Et la chemise ouverte
Il dort sur le bitume
Dans les lumières de l’hiver
Les gens passent sans voir
Pressés de retrouver
Leurs raisons d’exister
Ou d’en finir enfin
In memoriam d’un monde
Où tu pouvais encore
Choisir ta dépendance
Sans assistance médicale

L’herbe est si bleue
Et le ciel si vert
Oh mon Dieu,
Donnez-nous la force
De vivre encore un peu

Les chocs et les cris
La fumée dans les yeux
Un hélico me regarde
Comme un frelon hystérique
Les bombes lacrymogènes
Me reviennent sans cesse
Comme la nostalgie des temps
Où nous étions libres
De nos désirs de nos rêves
De nos vies incertaines

L’herbe est si rouge
Et le ciel si noir
Oh mon Dieu,
Donnez-nous la force
De vivre encore un peu

Alors ce fut comme ça
Son ventre a délivré
Il a poussé un cri de terreur
En découvrant le bordel
Où il devrait désormais se débattre
Comme un têtard englué
Dans les délices de la civilisation
De l’ultime maladie mentale
Du génie de l’espèce

L’herbe et si noire
Et le ciel si blanc
Oh mon Dieu,
Donnez-nous la force
De vivre encore un peu

L’herbe était si verte
Le ciel si bleu
Oh mon Dieu
Ne leur dites pas
Que tout cela n’est qu’un jeu

Paris, la nuit

Coutin/Coutin

Je veux être ton roi,
Je veux que tu sois ma reine
Que tu fasses de moi ce que tu voudras
Que tu me jettes au ciel
Que tu me gardes dans tes bras
Que tes yeux me brûlent
Que tes doigts me blessent
Que ton corps soit un calice
Que ta peau me guérisse
Je veux t’aimer sans cesse
Me perdre en toi
Ne jamais retrouver mon chemin
Errer comme un mendiant
Etre ton amant ton ami ton amour ta victime

La nuit je crie sans bruit
Dans la ville endormie
La nuit

Je veux être le livre ou tu écris
Et celui que tu lis
La chair que tu étreins
Je veux que tu sois libre
Et que tu n’appartiennes
Je veux que tu me quittes et que tu me reviennes
Comme les océans épousent la lune
Comme le soleil brûle le désert
Comme le ciel pleure sur la terre
Comme la vie donne la vie
Comme la nuit détruit le jour
Et puis s’enchaîne à lui
Je veux tout de toi

La nuit
La nuit

Je veux que tu m’aimes que tu me fasses éternel
Que tu sois à jamais belle que tu me brûles les ailes
Que tu me fasse fragile perdu, sans avenir et sans passé, égaré dans le présent, amoureux du temps
Torturé par le désir et la peur de te perdre,
Comme un enfant, le cœur battant
Faible et riche.
Dénudé désarmé
Ouvert à tous les vents, dispersé

La nuit je crie sans bruit
Dans la ville endormie
La nuit

Paris by night, city of lights, city of rights

Je veux que tu m’aimes et que tu sois immortelle
Que tu sois à jamais celle,
L’envie de toi me consume et me détruit
Et me donne la vie,
J’ai envie de me cacher dans tes bras.
De me noyer dans toi, de me naufrager.
De dériver vers l’infini et le néant comme un fétu de vie,
De n’exister que dans toi, par toi, pour toi
La nuit

Pas très loin de minuit

Coutin/Coutin

Parfois le silence est comme un cri
Perdu dans le soir sous la pluie
Le vent mauvais balaye les rues
Les néons bleus les filles perdues
Pas très loin de minuit
Pas très loin de minuit
Je veux partir J’en ai marre
De ces au revoir sans revoir
J’ai le cœur qui s’arrache devant ces heures
Qui passent et qui passent sans bonheur
Pas très loin de minuit
Pas très loin de minuit

Ho bébé si tu savais
Ho bébé si tu savais
Comme j’ai envie de te retrouver hey hey hey

Je marche sans aller nulle part
Il y a cette guitare qui crève le ciel
Les nuages pleurent sur la vie
Et j’ai le cafard dans le brouillard
Pas très loin de minuit
Pas très loin de minuit

Je cherche le courage de m’ enfuir
Devant ce temps Inutile et si lent
Je marche sans vraiment savoir
Ou la nuit me laissera
Pas très loin de minuit
Pas très loin de minuit

Ho bébé si tu savais
Ho bébé si tu savais
Comme j’ai envie de te retrouver
Hey hey hey

Pas très loin de minuit
Pas très loin de minuit
Perdus dans la nuit
Caches dans la nuit