BABYLONE PANIC – LIVE

Réalisation artistique : Jean Philippe Lajus, Gilles Michel
Enregistré par Jean Philippe Lajus et François Galland
Mixé par Jean Philippe Lajus
Mastering : the Brain
Graphisme et réalisation pochette : Agence Bolivie
Patrick Coutin : chant, guitares
Gilles Michel : basse, chant
Eric Lafont : batterie, chant
François Bodin : guitare
Fabien Haimovici : batterie (“Justice” et “Traces d’amour”)

Au départ, il s’agissait de quelques concerts pour la sortie du « Bleu », en 2011.

Gilles Michel, co-réalisateur de l’album et arbitre des élégances, réunit un groupe ou Coutin retrouve Eric Lafont, qui était déjà sur le Live de 2001, et François Bodin. Avec Gil Michel à la basse et Coutin au chant et à la guitare, cela donne un combo de rock qui a un peu de gueule, en tous cas quelques références…
Mais les deux soirées au Réservoir et les quelques dates qui suivent montrent que ce groupe a aussi un son, une énergie, qui oscille entre le trauma blues et le crash landing du rock le plus outrageusement « garage »…
De cette énergie primale, sortiront très vite de nouveaux morceaux, comme pour mieux permettre à ces requins du riff de jeter aux chiens tout leur savoir faire… Toute leur hargne. Ces nouveaux titres ont donné l’album Babylone Panic.
Le groupe a continué sa vie, plus ou moins chaotique, entre les diverses activités de chacun, d’apparitions rares en apparitions rares… Une sorte de tournée sans fin des clubs (Réservoir, Boule noire, International, Bus Palladium, Epicerie, etc.) et des scènes rock  un peu décalées (Fête de l’Humanité, les Rockeurs ont du coeur…).
Jean Philippe Lajus a eu l’intuition qu’il fallait garder une trace de cette rencontre, de ces concerts, de cette énergie et il les a enregistrés de manière sommaire. Ce sont ces bootlegs qui sont aujourd’hui réunis dans ce « Babylone panic live », enregistré d’Octobre 2011 à Janvier 2013, mixés au printemps 2013.

Merci à tous ceux qui ont participé à ces concerts, aux publics, aux salles et aux évènements qui nous ont accueillis, aux techniciens, aux rencontres d’un soir et d’un moment de partage ; merci à la musique et au rock’n’roll.

Extraits